L’après-coup résonne encore
Galerie de photos du spectacle Sky Dancers
L’après-coup résonne encore
Galerie de photos du spectacle Sky Dancers
Sky Dancers est une pièce de danse multidisciplinaire qui explore l’impact de la catastrophe du pont de Québec de 1907, qui a tué 33 monteurs de charpentes métalliques de Kahnawà:ke. Les retombées ont été ressenties dans le monde entier et les conséquences de cette catastrophe ont eu des répercussions sur plusieurs générations. La chorégraphe Barbara Kaneratonni Diabo met en lumière l’impact de cette perte sur sa communauté Kanien’kehá:ka, ainsi que sur les traditions de danse de cette dernière : « Nos danses ont été découragées pendant des centaines d’années et étaient considérées comme non professionnelles, voire illégales dans de nombreuses régions du pays. On nous a fait sentir invisibles ».
L’après-coup résonne encore
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Galerie de photos du spectacle Sky Dancers
Sky Dancers est une pièce de danse multidisciplinaire qui explore l’impact de la catastrophe du pont de Québec de 1907, qui a tué 33 monteurs de charpentes métalliques de Kahnawà:ke. Les retombées ont été ressenties dans le monde entier et les conséquences de cette catastrophe ont eu des répercussions sur plusieurs générations. La chorégraphe Barbara Kaneratonni Diabo met en lumière l’impact de cette perte sur sa communauté Kanien’kehá:ka, ainsi que sur les traditions de danse de cette dernière : « Nos danses ont été découragées pendant des centaines d’années et étaient considérées comme non professionnelles, voire illégales dans de nombreuses régions du pays. On nous a fait sentir invisibles ».
Sky Dancers est une pièce de danse multidisciplinaire qui explore l’impact de la catastrophe du pont de Québec de 1907, qui a tué 33 monteurs de charpentes métalliques de Kahnawà:ke. Les retombées ont été ressenties dans le monde entier et les conséquences de cette catastrophe ont eu des répercussions sur plusieurs générations. La chorégraphe Barbara Kaneratonni Diabo met en lumière l’impact de cette perte sur sa communauté Kanien’kehá:ka, ainsi que sur les traditions de danse de cette dernière : « Nos danses ont été découragées pendant des centaines d’années et étaient considérées comme non professionnelles, voire illégales dans de nombreuses régions du pays. On nous a fait sentir invisibles ».