Le monde selon les Kanienkeha:ka
Entretien avec Barbara Kaneratonni Diabo
Le monde selon les Kanienkeha:ka
Entretien avec Barbara Kaneratonni Diabo
Lorsque je produis un spectacle, tout est axé sur les liens tisés avec les autres, les gens sur scène, dans le public et au-delà. Quel que soit le vocabulaire, pour ainsi dire, qui semble être le moyen le plus profond de faire avancer cela.
J’ai étudié le théâtre et la danse. J’ai toujours aimé apprendre, et cela m’a donné accès à une large source de vocabulaires où puiser. Dans la culture autochtone, nous avons tendance à ne pas établir de lignes franches qui séparent la danse, le théâtre, la musique et les arts visuels. Une partie des enseignements culturels que j’ai reçus s’exprime peut-être de cette façon. Donc, lorsque je conçois ces enseignements, j’ai tendance à les garder dans ma tête. Je danse pour ma communauté, la prière, les ancêtres et les générations futures. C’est beaucoup plus qu’un spectacle.
« Je danse pour ma communauté, la prière, les ancêtres et
les générations futures. »
Je pense que notre culture possède beaucoup d’enseignements vraiment importants et astucieux dont nous pourrions tous bénéficier si nous étions capables de les vivre. C’est en partie pour cette raison que je fais ces choses. J’essaye de suivre plusieurs de nos enseignements culturels, pour ainsi dire, non seulement parce que je suis une personne autochtone, mais aussi parce qu’ils ont du sens pour moi. Et je vois comment cela peut vraiment aider le monde. À bien des égards, nous nous sommes quelque peu éloignés du chemin à suivre pour mener notre vie. Donc, si je peux d’une façon ou d’une autre montrer aux gens le chemin — par l’enseignement de nos danses et de nos chansons —, alors je pense que ça contribuera à faire du monde un endroit meilleur. Un aîné m’a dit un jour : « Tu ne veux pas que tes connaissances meurent avec toi ». Donc, pour moi, c’est important d’essayer de transmettre comme il convient les connaissances que j’ai acquises jusqu’à présent.
Le monde selon les Kanienkeha:ka
Le monde selon les Kanienkeha:ka
Entretien avec Barbara Kaneratonni Diabo
Lorsque je produis un spectacle, tout est axé sur les liens tisés avec les autres, les gens sur scène, dans le public et au-delà. Quel que soit le vocabulaire, pour ainsi dire, qui semble être le moyen le plus profond de faire avancer cela.
J’ai étudié le théâtre et la danse. J’ai toujours aimé apprendre, et cela m’a donné accès à une large source de vocabulaires où puiser. Dans la culture autochtone, nous avons tendance à ne pas établir de lignes franches qui séparent la danse, le théâtre, la musique et les arts visuels. Une partie des enseignements culturels que j’ai reçus s’exprime peut-être de cette façon. Donc, lorsque je conçois ces enseignements, j’ai tendance à les garder dans ma tête. Je danse pour ma communauté, la prière, les ancêtres et les générations futures. C’est beaucoup plus qu’un spectacle.
« Je danse pour ma communauté, la prière, les ancêtres et
les générations futures. »
Je pense que notre culture possède beaucoup d’enseignements vraiment importants et astucieux dont nous pourrions tous bénéficier si nous étions capables de les vivre. C’est en partie pour cette raison que je fais ces choses. J’essaye de suivre plusieurs de nos enseignements culturels, pour ainsi dire, non seulement parce que je suis une personne autochtone, mais aussi parce qu’ils ont du sens pour moi. Et je vois comment cela peut vraiment aider le monde. À bien des égards, nous nous sommes quelque peu éloignés du chemin à suivre pour mener notre vie. Donc, si je peux d’une façon ou d’une autre montrer aux gens le chemin — par l’enseignement de nos danses et de nos chansons —, alors je pense que ça contribuera à faire du monde un endroit meilleur. Un aîné m’a dit un jour : « Tu ne veux pas que tes connaissances meurent avec toi ». Donc, pour moi, c’est important d’essayer de transmettre comme il convient les connaissances que j’ai acquises jusqu’à présent.
personne interviewée
Barbara Kaneratonni Diabo
réalisateur et monteur
Abdurahman Hussain
Directeur de la photographie
Nick Jewell
Direction créative
Peter Farbridge et Crystal Chan
Chorégraphie
Barbara Kaneratonni Diabo (A'nó:wara Dance Theatre)
Musique
Michael Diabo, de Sky Dancers
Extraits
Sky Dancers
The Medicine Wheel
In Honour
Passage du Nord
Oieron:ta - Hindered Body/Dancing Spirit
My Urban Nature
Hoop Dance
Smudge
Lorsque je produis un spectacle, tout est axé sur les liens tisés avec les autres, les gens sur scène, dans le public et au-delà. Quel que soit le vocabulaire, pour ainsi dire, qui semble être le moyen le plus profond de faire avancer cela.
J’ai étudié le théâtre et la danse. J’ai toujours aimé apprendre, et cela m’a donné accès à une large source de vocabulaires où puiser. Dans la culture autochtone, nous avons tendance à ne pas établir de lignes franches qui séparent la danse, le théâtre, la musique et les arts visuels. Une partie des enseignements culturels que j’ai reçus s’exprime peut-être de cette façon. Donc, lorsque je conçois ces enseignements, j’ai tendance à les garder dans ma tête. Je danse pour ma communauté, la prière, les ancêtres et les générations futures. C’est beaucoup plus qu’un spectacle.
« Je danse pour ma communauté, la prière, les ancêtres et
les générations futures. »
Je pense que notre culture possède beaucoup d’enseignements vraiment importants et astucieux dont nous pourrions tous bénéficier si nous étions capables de les vivre. C’est en partie pour cette raison que je fais ces choses. J’essaye de suivre plusieurs de nos enseignements culturels, pour ainsi dire, non seulement parce que je suis une personne autochtone, mais aussi parce qu’ils ont du sens pour moi. Et je vois comment cela peut vraiment aider le monde. À bien des égards, nous nous sommes quelque peu éloignés du chemin à suivre pour mener notre vie. Donc, si je peux d’une façon ou d’une autre montrer aux gens le chemin — par l’enseignement de nos danses et de nos chansons —, alors je pense que ça contribuera à faire du monde un endroit meilleur. Un aîné m’a dit un jour : « Tu ne veux pas que tes connaissances meurent avec toi ». Donc, pour moi, c’est important d’essayer de transmettre comme il convient les connaissances que j’ai acquises jusqu’à présent.